Le bon poids pour courir: idéal, forme ou santé?


Non, vous n’êtes pas seul(e) à vous posez la question du quel est le bon poids pour courir.
L’autre jour, je vous exposais ma théorie sur « le courir pour maigrir ». Suite à cela, j’ai eu des messages publics comme privés de certaines personnes ayant pratiquées la course à pieds pour justement perdre du poids.
Et c’est ce dont j’avais envie de vous parler aujourd’hui, le poids. Nous sommes tous préoccupés à un moment où un autre dans notre vie par ce poids, ne serait-ce chez les femmes par une grossesse.

Qu’est ce que le poids finalement ? Quelle incidence la variation de poids peut-elle avoir sur la course à pieds ?

 Le poids : définition

Par définition, le poids est une force, une pression exercée vers le bas par un corps soumis à la

gravitation.
Et cette force, pression est représentée par l’ensemble de ce qui constitue notre organisme d’une part, mais également ce qu’il produit. En effet, lorsque l’organisme est en pleine digestion, la production d’énergie, de chaleur, le travail qu’il opère pendant cette phase contrarie le poids de départ. Il en est de même pour le corps en mouvement.
Alors ce chiffre que vous voyez sur la balance varie du matin au soir car nous ne restons pas inerte toute la journée. Et cela, je suis sûre que vous en avais déjà fait l’expérience.

Mais alors quel est vraiment ce fameux poids idéal, mais est-il un si bel exemple que cela ?

 Le poids idéal : qu’est ce que s’est ?

Pour rester simple, le poids idéal serait le poids de norme. Et c’est là tout le dilemme.
Cette mesure, si extraordinaire fut elle jadis, commence à perdre de son sens, notamment chez les sportifs, y compris les pratiquants du running.
Être dans la normalité pondérale signifie entrer dans des cases grâce au baromètre de l’IMC. Le fameux indice de masse corporelle ou indice de Quetelet, du nom de son créateur, a vu le jour en 1832. A cette époque-ci, cet indice n’était pas associé à la problématique de l’obésité.
En effet, dans un autre temps, les rondeurs étaient bien mise en évidence, et signes de bonne santé.

Ce n’est que plus tard, lorsque le système des assurances se développa que la relation entre le poids et la santé fut mis en avant.

Ainsi, en fonction du calcul de votre IMC vous êtes considérez en sous-poids, normal, surpoids ou obésité. De ce fait, l’excès de poids, comme la maigreur décroît votre capital santé.

Ceci a bien entendu ses limites, je peux très bien être dans la norme avec une « petite ceinture abdominale » disgracieuse apparente qui me gêne dans ma recherche à la performance.

Et c’est souvent, l’un des motifs de consultations de mes sportifs de plein air.

Mais alors qu’en est-il ? A quel élément devriez vous vous intéresser ?

 Le poids de forme ou poids santé ?

Ce petit « bidou » bien confortable pour les partenaires, handicape les coureurs. En effet, la graisse abdominale vient compresser à la fois les poumons et à la fois le cœur.
Et chaque pratiquant de cette discipline sait à quel point le système cardio-respiratoire est important. Lui laisser l’espace dont il a besoin, est un plus vers la performance.
Vous l’aurez compris, dans l’optique d’améliorer sa performance, il convient aussi de diminuer son tour de taille. Pour se faire, il suffit de d’adapter son alimentation à ses dépenses énergétiques.
Et c’est naturellement, que le poids se stabilisera vers ce que lui confère de poids de forme, un poids où l’on se sent bien, où l’on respire la santé.
Ainsi, en adoptant une alimentation variée et saine, votre équilibre intérieur s’en portera mieux.

N’hésitez pas à me partager votre ressenti concernant votre propre poids santé, en m’écrivant.